Boboco s’écrit comme ça se prononce et se comprend comme ça s’entend. Enfin presque, parce que ce ne sont pas que des beaux bocaux mais aussi des bouteilles, des pots, et autres verreries au physique tout aussi plaisant. Mais comme il ne s’agit pas ici d’un concours de beauté, ne nous arrêtons pas uniquement à la forme et voyons ce que ces protagonistes ont à nous offrir sur le fond.

Et il faut reconnaître que les arguments des produits Boboco sont solides, bien loin du « Fragile » écrit sur la boîte dans laquelle ils sont livrés, et qui a plus à voir avec leur sensibilité. Car, non, ils ne sont pas de simples bocaux fabriqués en France avec du verre recyclable à 100% ad vitam. Ce sont de vrais artistes, capables de transformer le cliquetis de votre cuillère contre ses parois en Bolero de Ravel, d’apporter une touche de surréalisme à votre confiture de coings, et de faire passer votre bœuf bourguignon pour une œuvre de Rodin. Un atout majeur pour faire gagner haut la main ce remake d’Un dîner presque parfait organisé entre amis.

Bref, vous l’aurez compris, chez Boboco, petite start-up au sein du groupe Verallia qui a décidé de fournir aux particuliers la même qualité de bocaux que celle dont bénéficiait les pros, tous les voyants sont au verre. À tel point que si ses produits s’étaient présentés à ce fameux concours de beauté évoqué ci-dessus, on aurait directement voté pour eux et payé les 2 x 0,75€ plus prix d’un sms sans rechigner.